Les Sites incontournables de France (3 cœurs)
Salers
C’est autour du château des barons de Salers que s’est développée la cité, et c’est au XVe siècle que les remparts ont été construits pour se protéger
des Anglais. Au XVIe siècle, Salers devient siège du bailliage des Hautes Montagnes d’Auvergne, et ses bourgeois construisent alors les beaux hôtels particuliers qu’il est encore possible d’admirer aujourd’hui.
Tout autour de la Grand Place, les maisons de lave s’ornent de tourelles, de toits en poivrière de fenêtres à meneaux, de portes cloutées et sculptées. L’ancien bailliage d’époque Renaissance présente des tourelles d’angle et une massive tour octogonale. Par la rue du Beffroi, vous irez jusqu’à l’église : terminée au XVIe siècle, elle conserve un très beau porche d’époque romane. Sa nef renferme une « mise au tombeau » et des tapisseries d’Aubusson.
Mittelbergheim
Mittelbergheim s’étire sur les collines couvertes de vignes du Rippellsholz. Le village dont le nom est mentionné dès 741, fut successivement la propriété de plusieurs abbayes. De nos jours, le bourg d’où émergent les clochers effilés des deux églises, a toujours des allures de forteresse. On peut admirer à l’angle de la rue de la Montagne et de la rue principale, le bel hôtel de ville Renaissance, puis l’ancien pressoir de la Cour dîmière du XVIIIe siècle, et plus loin un très beau pressoir en bois. Certaines maisons ont de belles enseignes en fer ouvragé et des toits en forme de queue de castor. Il faut aussi visiter la petite église catholique du XIXe siècle et le temple protestant, avec sa nef gothique et son clocher-choeur roman. Idéalement situé sur la route des vins d’Alsace, Mittelbergheim fait partie des villages les mieux conservés et les plus jolis d’Alsace.
Château du Haut-Koenigsbourg
Le site du Haut-Koenigsbourg sans doute l’un des plus visités des châteaux médiévaux français, peut rebuter l’amateur d’architecture inviolée. Mais cette reconstruction totale est intéressante; elle montre l’influence d’architectes d’une grande érudition, tels Viollet-le-Duc et Bodo Ebhardt, qui se laissèrent aller à une improvisation libre sur substrat de ruines pour bâtir des folies médiévales à l’usage de leurs maîtres d’ouvrage. À cinquante ans d’intervalle, Pierrefonds et le Haut-Koenigsbourg témoignent, en définitive, du même élan créatif basé sur la pire des idéologies : celle de la nation dominante. Mais ce site, vu au travers du prisme archéologique, est extrêmement révélateur de l’extraordinaire partage du sol dans l’Alsace médiévale, où la construction de deux châteaux antagonistes, à moins de 100 m de distance, ne choquait pas.
Beynac-et-Cazenac
Siège au moyen-âge de l’une des quatre
baronnies du Périgord, le château a subi tous
les assauts et n’a été pris que par Richard
Coeur de Lion et Simon de Montford. De
ruelles pavées en escaliers, la visite du village
passe par sa chapelle seigneurale, devenue
église Ste Marie, pour s’achever au calvaire
dominant la Dordogne. Les gabarres ont cessé d’approvisionner en bois les tonneliers du Bordelais et déserté
l’ancien port pour partager la rivière avec barques et canoës. Sur le plateau, la chapelle de Cazenac est émouvante de simplicité.
Château de Castelnaud
Face au château de Beynac dont il fut le rival implacable dans incessants conflits qui émaillent l’histoire du Moyen Age. Le château fort de Castelnaud dresse sa silhouette imposante dans un site admirable à l’extrémité d’un promontoire commandant les vallées du Céou et de la Dordogne. La base du château remonte à l’époque de Bernard de Cazenac, tout comme le haut donjon du XIIe siècle et de la partie triangulaire qui le protège. Il fut renforcé au cour du XIIIe et XIVe siècle. Après la Révolution, il est laissé à l’abandon, puis sert de carrière de pierres. En 1969, une importante restauration a été entreprise qui a permis de relever la plupart des bâtiments. Abritant un musée de la guerre au Moyen Age, Castelnaud nous offre un authentique voyage au cœur d’un château fort médiéval.
Château de Bonaguil
Le plus beau château-fort de France
Château des XIIIe, XVe, XVIe et XVIIIe siècles, Classé Monument Historique.
Situé sur la commune de Saint Front sur Lémance dans
le nord-est du Lot-et-Garonne, près de Fumel (dont il est propriété de la commune),
cette forteresse, référencée au titre des Sites Majeurs d’Aquitaine, s’élève sur un éperon rocheux entre les vallées de la Théze et de la Lémance. Il forme un ensemble unique en Europe illustrant l’évolution des techniques de défense, du Moyen-Âge à la Renaissance et jusqu’aux prémices
des fortifications à la Vauban.
Château de Fort La Latte
Tout château a des légendes, le Fort La Latte n’échappe pas à cette règle. Mais est-ce une légende cette rumeur persistante qui figure dans de nombreux récits du Moyen Age repris plus tard par un bon nombre d’historiens : un banneret de Bretagne N. de Goyon, compagnon d’Alain Barbe Torte, aurait érigé à cette endroit vers 931 un donjon en bois pour surveiller les allées et venues des Normands et les repousser… Laissons à la légende qui a sans doute pour but d’attester que le nom prestigieux des Goyon remonte à des temps immémoriaux et approchons nous des certitudes quant à la famille de Goyon-Matignon et à l’édification du château.
Les sires de Goyon, seigneurs de Matignon, édifièrent le château de la Roche-Goyon vers le milieu du XIVe siècle. Sur une crête rocheuse qui s’avance dans la mer s’élève l’enceinte flanquée de tours entourant un donjon cylindrique. Les ponts-levis permettent de franchir les deux profondes crevasses qui le séparent de la côte. Endommagés sérieusement pendant les troubles de la Ligue, le château est remanié et restauré entre 1690 et 1715 sur ordre de louis XIV qui l’utilise comme défense côtière. Il prend alors le nom de Fort La Latte.
Château de Loches
Le château de Loches constitue l’un des cas les plus représentatifs de l’évolution de l’architecture féodale. De la tour maîtresse du XIe siècle au logis Royal des XIVe siècle, des tourelles semi-circulaires aux tours en amande, des flanquements du XIIIe siècle aux moineaux de la fin du XVe siècle, le château de Loches offre toutes les évolutions.
Palais et parc de Versailles
Lieu de résidence privilégié de la monarchie française de Louis XIV à Louis XVI, le château de Versailles, embelli par plusieurs générations d’architectes, de sculpteurs, d’ornemanistes et de paysagistes, a été pour l’Europe pendant plus d’un siècle le modèle de ce que devait être une résidence royale.
Palais de Fontainebleau
Utilisée par les rois de France dès le XIIe siècle, la résidence de chasse de Fontainebleau, au cœur d’une grande forêt de l’Ile-de-France, fut transformée, agrandie et embellie au XVIe siècle par François Ier qui voulait en faire une « nouvelle Rome ». Entouré d’un vaste parc, le château, inspiré de modèles italiens, fut un lieu de rencontre entre l’art de la Renaissance et les traditions françaises.
Château de Peyrepertuse
« II est de savoir que aux Marches, par deçà sur la frontière d’Aragon, est la Cité de Carcassonne qui est la mère et a cinq fils, c’est de savoir, Puilaurens, Aguilar, Quierbus, Terme et Peyrepertuse ».
Ces châteaux se dressent sur les crêtes calcaires de nos Hautes-Côrbieres. Par l’ampleur de ses vestiges et par la qualité de ses constructions, Peypèrtuse est le plus important ensemble et le plus remarquable exemple d’architecture militaire du Moyen Âge, en pays d’Aude, après la Cité de Carcassonne. Dès les premiers siècles de notre ère, les Romains semblent avoir occupé le site. Toutefois, il faudra attendre le début du IXe siècle pour connaître les premières mentions du Pays de Peyrepertuse. L’existence d’un donjon primitif nous est attestée par des actes datant du début du XIe siècle. Une faible garnison maintenue jusqu’à la Révolution ne pouvait empêcher le temps de ruiner l’ouvrage dont nous devinons aujourd’hui la splendeur.
Pont du Gard
Le pont du Gard a été construit peu avant l’ère chrétienne pour permettre à l’aqueduc de Nîmes, long de près de 50 km, de franchir le Gardon. En imaginant ce pont de 50 mètres de haut à trois niveaux, dont le plus long mesure 275 mètres, les ingénieurs hydrauliciens et architectes romains ont créé un chef-d’oeuvre technique qui est aussi une oeuvre d’art.
Cascade du Sautadet
La Ceze a creusé des chenaux et des cavités qui finissent par se rejoindre et forment des crevasses dans lesquelles la rivière s’engouffre. Les éléments les plus spectaculaires sont les marmites de géants. Ce sont des cavités cylindriques (certaines ont quelques mètres de diamètre) creusées dans le lit rocheux de la rivière par le mouvement tourbillonnant des galets.
Grotte des Demoiselles
Située non loin du Cirque de Navacelles, cette grotte est en fait un ancien aven dont l’ouverture se fait sur le plateau de Thaurac.
Source de légendes parfois terrifiantes, cette grotte fut découverte en 1770 . Mais, c’est E. Martel, l’homme de l’Aven Armand qui le premier a effectué une exploration de cette grotte en 1889.
Elle offre une particularité tout à fait originale puisqu’elle comporte une gare de funiculaire et c’est donc par ce moyen de transport singulier que l’on y accède sans aucune fatigue.
La salle principale est majestueuse par ses dimensions : la voûte s’élève à 50 mètres de haut, elle s’étend sur 120 mètres de large. Il faut prendre son temps pour apprécier les immenses colonnes qui lui donne un air de cathédrale tout comme la température et l’impression de majesté qui y règne.
C’est dans cette grotte que l’on pourra admirer la célèbre stalagmite de la Vierge à l’Enfant perchée sur son support de calcite blanche.
Sainte-Enimie
Du monastère élevé en abbaye au XIVe siècle subsistent la salle capitulaire romane et la chapelle Ste Madeleine. Dans le village aux maisons médiévales et aux fenêtres Renaissance s’élève l’église romane du XIIe siècle qui renferme de belles statues.
La cité a conservé ruelles étroites et passages voûtés. La source de Burle est une fontaine vauclusienne aux pouvoirs miraculeux. Un sentier escarpé conduit à l’ermitage où Ste Enimie se retira à la fin de ses jours.
Aven Armand
En septembre 1897, Louis Armand, Édouard-Alfred Martel et Armand Viré Découvrent pour la première fois cette fantastique caverne. La cheminée d’accès, longue de 40 m, débouche à la voûte d’une salle immense haute de 45 mètres en moyenne, longue de 110 mètres, large de 60.
Aujourd’hui, un funiculaire empruntant un tunnel emmène sans fatigue les visiteurs sur la plate-forme : là, c’est toujours le choc de la saisissante vue d’ensemble sur la grotte. Sous une l’illumination réalisée par Jacopolzi, plus de 400 stalagmites dressent leurs dentelles de pierre à plusieurs mètres de haut.
Grotte de Dargilan
Sur le Causse noir, surplombant les gorges de la Jonte, c’est la plus grande grotte des Causses et des Cévennes et une des plus vastes salles souterraines de France.
Visite guidée d’une heure au cœur de toutes sortes de cristallisations vivantes aux couleurs naturelles très accentuées.
Site officiel : http://www.dargilan.com
Château de Montségur
Avant de s’élancer à l’assaut du « Pog », le sentier passe à proximité de la stèle élevée en 1960 « aux martyrs du pur amour chrétien ». Le câteau occupe un site dominant des à-pic de plusieurs centaines de mètres et offre un panorama remarquable sur les rides du Plantaurel, la coupure de la vallée de l’Aude et le massif du Saint-Barthélemy.
La forteresse, de plan pentagonal, épouse le contour de la plate-forme du sommet. On y accède par une porte au sud. Autour de la cour intérieure divers bâtiments (logis, annexes) étaient adossés au rempart. Autrefois une porte au 1er étage du donjon permettait d’y accéder à partir du rempart. Un escalier intérieur menait à la salle basse, réservée à la défense et à l’entrepôt de vivres. Aujourd’hui on atteint la salle basse en contournant l’enceinte par la porte nord et par une brèche qui donne sur l’ancienne citerne. Deux meurtrières de la salle reçoivent le soleil du soistice d’été de telle sorte que la lumière ressorte par les deux meurtrières qui leur font face. Au pied du donjon, côté nord-ouest, les vestiges du « village Cathare » sont en cours de fouilles.
Conques
La grande époque de Conques, aux XI et XIIe siècles, coïncide avec la construction de l’abbatiale romane et la création des plus belles pièces d’orfèvrerie de son trésor, dont la majesté en or de Sainte Foy. Sur le tympan de l’église, 124 personnages illustrent depuis plus de 800 ans le jugement dernier. La lumière à travers les vitraux, rehausse l’austérité romane. Important lieu de pèlerinage et site protégé, le village a gardé sa belle unité médiévale : il raconte d’ailleurs son histoire au fil des expositions du Centre européen d’art et de civilisation médiévale.
L’Abbaye du Mont-Saint-Michel
Sur un îlot rocheux au milieu de grèves immenses soumises au va-et-vient de puissantes marées, à la limite entre la Normandie et la Bretagne, s’élèvent la « Merveille de l’Occident », abbaye bénédictine de style gothique dédiée à l’archange saint Michel, et le village né à l’abri de ses murailles. La construction de l’abbaye, qui s’est poursuivie du XIe au XVIe siècle, en s’adaptant à un site très difficile, a été un tour de force technique et artistique.
Château Gaillard (Les Andelys)
Majestueuse forteresse du XIIe siècle, édifiée par Richard Cœur de Lion, Roi d’Angleterre, Duc de Normandie. Construit en un an sur une colline qui domine la Seine dans la boucle des Andelys (station touristique), Château-Gaillard a constitué véritablement la pièce maîtresse d’un vaste système de défense qui commandait l’accès de la Normandie. Lors des guerres de Religion, après deux ans de siège, Henri IV investit Château-Gaillard et le fit démanteler.
Château des ducs de Bretagne
De Charles VIII à Louis XIV, maints rois de France ont séjourné au château. Dans la chapelle, Louis XII épouse Anne de Bretagne en 1499. Henri IV y a élaboré, sinon signé en 1598 les termes de l’édit de Nantes. Dans ses tours furent détenus Chalais, favori du roi Louis XIII, le cardinal de Retz, la duchesse de Berry. La grande époque est celle du duc de Bretagne, François II. Le train de vie est royal. La cour est fastueuse et les mœurs très libres. Un bras de la Loire baigne alors dans le château.
L’édifice actuel, commencé en 1466 par François II, est continué par sa fille Anne de Bretagne. Le duc de Mercœur, durant la ligue, ajoute des défenses. A partir du XVIIIe siècle, l’administration militaire en prend possession, taille, rogne, élève des bâtiments au style sans apprêt. La tour des espagnols, transformée en poudrière, saute en 1800. Au XIXe siècle, la construction d’un quai, puis au XXe siècle, le comblement d’un bras de Loire ont modifié sérieusement le site. Actuellement, le château est en cours de rénovation.
Château de Pierrefonds
Le château de Pierrefonds a été construit au XVe siècle par Louis d’Orléans puis démantelé sur ordre de Louis XIII. Au XIXe siècle, Viollet-le-Duc le releva de ses ruines selon le souhait de Napoléon III d’en faire une demeure impériale, située à proximité du château de Compiègne. Le chantier dura de 1857 à 1884.
Château de Chantilly
Élevé dans un site inoubliable au milieu des eaux, le château de Chantilly se compose d’une partie construite au XVIe siècle, de pure architecture Renaissance. On le décrit souvent comme un château de la Loire.
Le château abrite également un des plus grands musées de France par l’importance de ses collections, le musée Condé.
Moustiers-Sainte-Marie
Cramponné au pied de falaises, au creux d’une faille où coule un torrent et où ont poussé des oliviers, avec pour horizon des champs de lavande, de lavandin, de thym et de chênes-lièges, ce village à l’orée des gorges du Verdon et non loin du lac artificiel de Ste Croix est l’une des merveilles du département. C’est un village qui a été fondé en 434 par des moines venus de l’abbaye de Lérins et qui ont construit là un monastère (Moustiers, « monasterium » en latin, signifie monastère).
Sur une terrasse rocheuse surplombant le village, avec la falaise pour toile de fond, la chapelle romane Notre Dame de Beauvoir, datant du XIIe siècle, est elle-même couronnée par une étoile dorée suspendue à une chaîne longue de 227 mètres. C’est un croisé, compagnon de Saint Louis et chevalier de Blacas, qui fit don de cette étoile de pèlerinage à son retour de captivité en Terre sainte. Moustiers connut la gloire et la prospérité aux XVIIe et XVIIIe siècles grâce à ses délicates faïences en camaïeux bleu, jaune d’or, rouge cerise, vert de cuivre… Le musée local est consacré à cet art traditionnel que perpétuent avec bonheur les nombreux ateliers du village.
Les Baux-de-Provence
Entre un précipice vertigineux et les impressionnantes ruines de sa forteresse très longtemps inexpugnable, le plus visité des villages français se cale sur un éperon rocheux des Alpilles, entre le vallon de la Fontaine et le Val d’Enfer.
S’étendant sur la falaise, (les ruines se confondent presque avec la paroi rocheuse), Les Baux de Provence (du provençal baou « piton ») se
composent d’une partie basse très animée avec ses rues pavées bordées
d’élégantes maisons
Renaissance, sa charmante
place, et son église St Vincent
du XIIe siècle, et puis d’une
partie haute désertée, jadis
séparée du village par un
rempart et un fossé : « la cité
morte » qui domine le Val
d’Enfer.
Séguret
Au premier rang des charmes de Séguret brillent la
tour de l’Horloge coiffée d’une cloche en cage, la
belle porte Reynier, le beffroi du XVe siècle, l’église
romane St Denis des XII et XIIIe siècles, la chapelle
Notre Dame des Grâces et la fontaine des
Mascarons du XVIIe siècle, au style baroque et
« hantée » par ses gargouilles.
Dans ces sobres maisons en pierre aux volets turquoises, où serpentent des vignes vierges, vivent des artisans dont beaucoup d’entre eux sont spécialisés dans la fabrication des santons. De la place de l’église et de la corniche des remparts, le regard embrasse tout le panorama sur la plaine comtadine et les Cévennes. Un petit sentier conduit aux ruines du château féodal.
Théâtre antique d’Orange
Situé en Provence, le Théâtre Antique d’Orange est le théâtre romain le mieux conservé en occident, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Visitez ce monument impressionnant, édifié sous l’empereur Auguste au Ier siècle de notre ère. Découvrez, grâce à une visite audioguidée et un film, l’histoire du théâtre dans l’antiquité. Face au théâtre, le musée d’Art et d’Histoire d’Orange présente des collections de l’Antiquité au XIXème siècle. De grands monuments, un voyage passionnant dans la Rome Impériale.
Fontaine de Vaucluse
La source à l’eau vert émeraude est classée parmi les plus importante émergences du monde. Elle garde jalousement le secret de la profondeur du gouffre, en forme d’entonnoir vertical d’où elle coule en période de hautes eaux. Ce gouffre est situé au pied d’une falaise abrupte de 230 m. En toute saison des sources secondaires alimentent la Sorgue et forment un très beau plan d’eau ombragé par d’immenses platanes.
Ce site naturel d’une intense beauté, a su émouvoir le coeur de Pétrarque, de Mistral et du poète contemporain René Char.
La cascade du Ray-Pic
C’est une cascade naturelle d’une hauteur de 35 m située au nord de Burzet qui par son aspect sauvage enchante les amoureux de la nature. Il faut compter là encore une demi-heure de marche pour s’y rendre et c’est au moment où ont s’y attend le moins que la cascade d’une hauteur de trente mètres vous apparaît. Les prismes verticaux de la roche volcanique confère à la paroi l’élégance d’un orgue de cathédrale.
Aven Grotte de Marzal
L’Aven Grotte de Marzal fut signalé en 1892 par le Maître de la spéléologie, E.A.Martel comme étant une merveille naturelle.
L’Aven-Marzal s’est enrichi du Musée du Monde Souterrain, qui rassemble la plus part du matériel authentique utilisé par les illustres spéléologues (Martel, de Lavaur, de Joly, Casteret, Ageron…), depuis l’origine de la spéléologie.
En 1983, le site à été complété par le premier Zoo Préhistorique de France.
Celui-ci présente, le long d’un parcours ombragé de 800 mètres. Accessible à tous des reproduction d’animaux préhistoriques grandeur nature. Certaines scènes sont animées, et l’ensemble bénéficie d’une sonorisation tout à fait exceptionnelle et incomparable.
Aven d’Orgnac
L’Aven Orgnac, tout d’abord : 30 000 m²
de grottes aménagées à visiter en
descendant un escalier de près de 800
marches qui vous entraînera à 150 m
sous terre, à la découverte d’un monde de concrétions, de stalagmites et de stalactites. Vous êtes dans l’un des plus grands et des plus riches avens d’Europe. Mais pas l’un des plus chauds : la température est de 13 °.
Grottes de Choranche
Au cœur du Vercors, explorez cette grotte dissimulée dans la nature
exubérante du cirque de Choranche… L’eau des lacs et des rivières
souterraines inonde de reflets émeraude la blancheur cristalline des
concrétions. Au cours de votre visite, votre regard rencontrera un animal
cavernicole rescapé de l’époque des dinosaures : le protée, curieuse
créature…
Dans la gigantesque Salle de la Cathédrale, vous découvrirez un spectacle
son et lumière inédit sur les parois de la grotte, une nouvelle mise en
lumière haute en couleur qui vous invitera dans l’imaginaire du monde
souterrain !
Le cirque de Saint-Même
Dès sa source, le Guiers Vif dévale une falaise en quatre cascades successives : la première s’appelle «la Cascade de la source», la seconde se nomme «la Grande Cascade», puis on trouve «la Cascade Isolée» et enfin au pied «la Pisse du Guiers».
Juste au-dessus des sources du Guiers Vif, on peut voir l’entrée d’une grotte par laquelle sortait autrefois la rivière.
Cascade du Rouget
Cirque de sixt fer à cheval Cheval : Avec sa crique glacière, plus de 30 cascades, notamment la Cascade du Rouget, cascade très spectaculaire sur 70 mètres de haut.Appelé aussi la Reine des Alpes.
Arche de pont d’Arc
Haut de 34 mètres et large de 59 mètres au niveau de l’eau, le Pont d’Arc est une superbe arche naturelle située au coeur de l’Ardèche, près de Vallon Pont d’Arc.
Autrefois, l’Ardèche contournait par un méandre ce promontoire. A une époque géologique reculée, l’arche devait être un simple goulet par où s’écoulait un cours d’eau souterrain. Le travail d’affouillement de l’Ardèche et l’érosion l’ont ensuite isolé. Puis la rivière en crue a quitté son ancien méandre pour se glisser à travers cet orifice qu’elle a peu à peu agrandi.
Vous pouvez rejoindre le Pont d’Arc par la route, mais aussi le découvrir au détour d’un rapide en faisant la descente des gorges de l’Ardèche à pied ou en canoë
Le Mont Aiguille
Le Mont Aiguille, l’une des sept merveilles du Dauphiné
Le Mont Aiguille était autrefois désigné sous le nom de « Mont Inaccessible » parce qu’on en croyait l’ ascension impossible. Les dessinateurs le représentaient alors sur leurs gravures comme un champignon aux falaises en surplomb!
C’est en fait un énorme rocher de calcaire dur, en forme de parallélépipède, détaché en avant de la chaîne des falaises du Vercors, et ceint à sa base d’éboulis boisés.
Une vaste prairie recouvre son sommet plat.
Il existe de nombreuses voies d’accès à son sommet, au difficultés variables: la plus facile est dotée depuis cent ans d’un câble de sécurité; la plus illustre, celle des « tubulaires », est cotée « extrêmement difficile »?
Des dizaines de cordées, telles des fourmis besogneuses l’escaladent chaque année.
Le Mont Aiguille, s’il n’est plus le mont « inaccessible » est bien tout de même le mont de l’exploit !
Les Ocres de Rustrel
Au pied du Luberon, dans le pays d’Apt, les villages de Roussillon, Rustrel, Gargas, Bédoin, se mêlent aux anciennes carrières d’ocre. Parcours dans le Colorado Provençal au plein coeur du Parc régional du Luberon.
Le Luberon, un paysage aux mille couleurs : le blanc des calcaires, le vert des collines, le violet des champs de lavande, le bleu d’un ciel toujours dégagé, et enfin, le rouge flamboyant de ses terres.
On les dit vermillon, garance, parme. Les terres d’ocres offrent une palette de dix tonalités, du rouge au jaune clair, en passant même par du sable vert à Rustrel.
Les villages ont tous la couleur de leur sol, parcourus par un filon qui court au nord d’Apt de Gignac à Rustrel, Villars, Gargas, et Roussillon.
Ces falaises de feu font aujourd’hui le bonheur des touristes. Très fréquentés, ces sites ressemblent à des paysages du Far West, d’où le nom de « Colorado Provençal » donné au site de Rustrel.
Canyon du verdon
Un canyon célèbre, aux parois de calcaire. A voir surtout : le Point Sublime (400 m de hauteur), la Barre de l’Escalès (falaise), la grotte-tunnel de la Baume aux Boeufs, les cascades de St-Maurin…
Le Canyon du Verdon creuse ses gorges remarquables sur plus de vingt-un kilomètres, entre Rougon et Aiguines.
La route de La Corniche Sublime permet de découvrir toutes ses merveilles de nature sauvage sur des apics impressionnants.
A pied, il faut toute une journée pour arpenter et s’émerveiller tout au long du sentier Martel, baptisé du nom du premier « explorateur » du canyon en
La cascade de Fontcouverte
A la limite de la Savoie, la Haute Vallée de Névache, parsemée de lacs de montagne poissonneux (Lac Long, Lac Rond, Lac du Serpent, Lac Laramon… ) est le terrain privilégié du randonneur et du fondeur.
A partir de Névache, soit poursuivre le long de la vallée de la Clarée et admirer la cascade de Fontcouverte; soit, avant Névache, prendre à droite (D 1 ) et poursuivre jusqu’au lac vert au long de « la vallée étroite ».
Les Gorges de la Méouge
Féérie d’eau, de soleil et de lumière, ce torrent qui nous vient de la Drôme où il prend sa source, dévale joyeusement le lit sauvage que la nature lui a confectionné. Trous d’eau, réservoirs, cascades, plages de sable fin ou de galets polis par des millénaires de course folle, la Méouge est une bénédiction pour les vacanciers.
On peut s’y baigner, la parcourir les pieds dans l’eau ou la longer sur des sentiers balisés qui la surplombent, y pêcher, la descendre en kayak au printemps, la survoler en delta ou en parapente, rêver avec ses libellules ou suivre le vol d’un circaète aux plus beaux jours.
Le Lac Vert (Lago Verde)
Le Lago Verde (1834m) doit son nom à son intense couleur, très crue dans un paysage de basse montagne, et variable suivant l’angle d’incidence de la lumière solaire. La responsable est une algue fluorescente que nous sommes venus étudier ; colonie de cellules placées les unes sur les autres, unies dans le même effort impérialiste. Et apparemment, cela marche : ces longs filaments constitués d’algues unicellulaires ont trouvé dans ce lac matière à proliférer, leur frénésie reproductrice les a conduit à s’implanter partout, interdisant à quiconque le droit de s’installer là. concernent le sujet
Les calanques de Cassis
massif des calanques, aux portes de Marseille, offre un paysage de carte postale. Du cap Canaille à Marseille, cette côte calcaire, certainement la plus sauvage de la France méditerranéenne, se jette dans une eau transparente qui rappelle celle des tropiques. Cette côte est composée de calanques et de petites criques sauvages : ces véritables fjords miniatures sont les vestiges d’anciennes rivières côtières noyées par la mer, après la fonte des glaces. Les calanques de Marseille sont longues et profondes avec, d’est en ouest : celles de Sormiou, de Morgiou et de Sugiton ; alors que celles de Cassis paraissent plus étroites. On trouve également des éboulis et d’impressionnantes falaises comme celles du cap Canaille, qui figurent parmi les plus hautes de France. Le massif et le littoral sont composés de petit bois de chênes ou de pins d’Alep, qui réussissent, tant bien que mal, à s’installer sur ces gros blocs calcaires. Sinon les principales formes de végétation sont les garrigues et les broussailles, avec notamment de très beaux genêts
Les pénitents des Mées
Cette balade va vous permettre de découvrir une curiosité visible depuis l’autoroute Sisteron-Aix où la Nationale 85. Les Pénitents des Mées. Ces silhouettes figées dans leur stature de conglomérat attirent l’attention.
La légende veut que quelques jeunes hommes d’églises se soient retournés au passage d’une jeune jouvencelle et furent figés pour l’éternité.
La réalité est beaucoup plus simple. Le temps, aidé par le vent et l’eau ont sculpté ces hautes statures qui veillent sur le charmant village des Mées.
L’itinéraire suivi par cette randonnée n’est pas l’itinéraire recommandé par les guides. C’est à un parcours sur les crêtes que nous vous invitons.
Sur le parcours vous pourrez admirer suivant la saison : chênes blancs, amélanchiers, érables, pins noirs d’Autriche, pins d’Alep, iris nains, violettes, primevères, céphalanthères (ne pas cueillir)…
Les Robines du Liman
Les robines sont des collines de marnes noires sculptées par l’érosion.
Quand le sol est détrempé, les reflets de la lumière sur ces harmonies sombres créent de violents contrastes.
Leur matière meuble et friable se laisse façonner en formes douces qui composent d’étranges paysages.
Les Gorges du Cians
Le Cians est une rivière qui prend sa source au pied du Mont Mounier (alt. 2817m) sur les pentes de Pierrous.
Elle reçoit des affluents, le Challandre (rive droite), le raton (rive droite), le Cianavelle (rive droite), le Pierlas (rive gauche) qui présentent un vif intérêt pour les nouvelles pratiques de tourisme sportif (canyoning…).
Elle traverse les spectaculaires Gorges du Cians et se jette dans le Var (rive gauche), à l’ouest de Touët-sur-Var.
Le travail incessant des eaux fougueuses a formé de profondes gorges taillées dans les schistes rouges de l’ère primaire. Les effets sont saisissants: passages de fissures trés étroites et profondes, successions de ressauts, de cascades, parois verticales, célèbres clues où sont aménagés des passages piétonniers.
Clue de carejuan
Après le Point Sublime, la route descend vers le lit du Verdon jusqu’à s’en rapprocher de telle sorte que, suite à des crues du Verdon, la route a du être refaite.
Avant le pont de Carajuan, lieu de prédilection des amateurs de sport d’eaux vives, des pique-niqueurs et des pêcheurs à la truite, la route passe sous un auvent taillé dans la roche de la falaise.
Puis la route arrive au pont de Soleils qui est le point de rencontre amont des routes rive droite et rive gauche de l’exploration touristique des Gorges du Verdon.
Le Marais Poitevin
Deuxième zone humide de France par sa superficie, le Marais Poitevin se situe aux confins de deux régions du littoral atlantique (Pays-de-la-Loire, Poitou-Charentes) et à cheval sur les trois départements de la Vendée, des Deux-Sèvres, et de la Charente-Maritime.
Le Marais Poitevin ne se limite pas à la luxuriance et aux chemins d’eau de la « Venise Verte ». Couvrant quelque 97 000 hectares, il s’allonge de Niort à la mer et correspond à l’ancien golfe du Poitou peu à peu colmaté par des alluvions d’origine marine et fluviale.
Les Falaises d’Ault-Onival
Les falaises crayeuses de Haute Normandie se poursuivent au delà de l’embouchure de la Bresle de Mers-les-bains jusqu’à Ault et Onival. La hauteur de la falaise atteint 80 m entre Mers et Ault, elle est de 38 m à Ault. A son pied s’étend une étroite plage de galets et de sable qui se poursuit vers le large par un platier crayeux découvert à marée basse et large de 300 à 400 m. Le bourg d’Ault est bâti au bord de la falaise crayeuse qui s’ennoie plus au Nord.
Le Cap Blanc-Nez
Les passionnés de minéralogie, connaissent tous le célèbre site de Cap Blanc Nez (région de Boulogne sur Mer – Nord de la France), les falaises de craie, livre une grande abondance de Marcassite, cristallisée en crête de coq.
Mis à part les Marcassites, on pourra y récolter des Ammonites et parfois des restes de Poissons et de Reptiliens marins.
Il faut rester extrêmement vigilant sur la prospection, de spectaculaire éboulement peuvent parfois avoir lieu atteignant 300 mètres de long.
Les falaises s’élèvent à plus de 130 mètres au-dessus du niveau de la mer et apparaissent aussi fragiles que colossales.
Les Falaises d’Etretat
Les falaises d’Étretat est un site naturel d’exception où le spectacle des falaises découpées en portes, aiguilles et pinacles va vous couper le souffle. Série de falaises spectaculaires le long d’une jolie côte naturelle, immortalisée par le peintre impressioniste Claude Monet. Un rempart de craie à 110 mètres au-dessus de la mer.
Les Cascades de Cauterets
Ici, c’est le royaume du granit et de l’eau ; ses impressionnantes cascades et ses nombreux lacs en font un paradis naturel où venait rêver, au siècle dernier, l’Impératrice Eugénie.
En quittant Cauterets par le sentier des cascades, on atteint le site du Pont d’Espagne, l’un des plus beaux et des plus visités des Pyrénées. Des mesures ont du être prises pour accueillir le million de touristes qui s’y rendent chaque année et protéger les lieux. De là, on peut atteindre le lac de Gaube, à pied ou en téléphérique, puis la vallée du Lutour et celle du Marcadau.
Grotte de Lascaux
Située en Dordogne près du village de Montignac-sur-Vézère, au cœur du Périgord noir, la grotte de Lascaux est le chef d’œuvre de l’art préhistorique. Cette cavité de dimension moyenne, pour la région, se développe sur environ 200 m et se compose d’une alternance de salles plus ou moins circulaires et de galeries-couloirs.
Grotte de Bétharram
Les Grottes de Bétharram sont parmi les plus belles qui existent,
et certainement les plus curieuses à visiter, car elles livrent,
dans la variété de leurs aspects, la clef de la formation
de presque toutes les grottes mortes ou en pleine activité.
Elles comprennent cinq étages superposés comme ceux d’une maison,
étages creusés à des époques différentes.
les cascades de gimel
Mentionnées pour la première fois dans La France pittoresque d’Abel Hugo en 1883, les cascades ont été rendues célèbres grâce au peintre Gaston Vuilliers, qui aménagea un parc de manière à respecter le site.
La Montane, une petite rivière, qui passe à Gimel, un des plus beaux sites naturels corréziens, a donné naissance à trois cascades qui représentent à elles trois 142 m de chute:
le » Grand-Saut », 45 m, la « Redole », 27 m
la « Queue-de cheval », 60 m, qui finit sa course dans le « gouffre de l’Inferno », dont la légende dit qu’il est un village englouti par les eaux et où on pourrait parfois entendre sonner les cloches de l’église.
Le Chaos de Nîmes le Vieux
Il est vrai que cet ensemble de rochers ruiniformes peut faire illusion. Au départ du village caussenard du Veygalier où une maison abrite une expo sur la géologie, une promenade vous invite à parcourir les “ rues ” bordées de rochers calcaires dolomitiques. Ceux-ci, hauts de 10 à 50 mètres, surgissent en arc de cercle de 4 kilomètres de long, avec un étagement de cirque. En 1908, Paul Arnal découvre ce site fabuleux et le baptise ainsi par analogie à Montpellier-le-Vieux. Le Parc national des Cévennes a mis en place un sentier de découverte du milieu naturel (départ de L’Hom ou de Gally).
Les Détroits du tarn
Le Tarn prend sa source au Mont Lozère à 1575 mètres d’altitude et descend les pentes des Cévennes d’un cours rapide et torrentueux.
Au départ de Millau, plusieurs villages pittoresques : Paulhe, La Cresse, Compeyre, surplombant la vallée, Rivière-sur-Tarn et le Château de Peyrelade, Mostuéjouls, Liaucous, Peyreleau…
A partir du Rozier, 52 kilomètres de paysages, parsemés de grottes, de cirques spectaculaires, de hameaux et châteaux de caractère… se dérouleront sous vos yeux. Pour les marcheurs, Le Rozier est le point de départ de randonnées sur les corniches du Causse Méjean et du Causse Noir, royaumes des vautours.
Depuis le village des Vignes, une petite route en lacets vous conduira au Point Sublime, au sommet du cirque des Baumes, d’où l’on domine le Tarn de 400 mètres de haut.
En continuant, vous traverserez le Pas de Souci, impressionnant chaos de rochers effondrés dans le lit de la rivière.
Après les Détroits, point le plus étranglé des Gorges (belvédère), la route atteint La Malène, village médiéval à partir duquel vous pourrez descendre la rivière en barque. (Pour les sportifs, descente en canoë ou en raft.)
Les Gorges de Galamus
Les Gorges de Galamus offrent le spectacle grandiose de la lutte entre l’eau et les roches calcaires. Dans le canyon profond des gorges coulent les eaux vives de l’Agly qui, au débouché des gorges dans la plaine de Saint-Paul-de-Fenouillet, reçoivent l’appoint des eaux souterraines et glacées de la résurgence de la Tirounère. Dans la première partie des gorges, les eaux de l’Agly issues des reliefs argileux de Cubières, s’accumulent dans les « marmites » creusées dans les roches calcaires ou se perdent en partie dans les fissures de ces roches.
Les Gorges de la Fou
Au cœur de l’été, ombre et fraîcheur sont parfois les bienvenues…
Y ajouter la beauté extraordinaire d’un site rend la balade encore plus agréable.
A deux kilomètres d’Arles-sur-Tech, sur la route de Prats-de-Mollo, il est un lieu idéal pour oublier un peu la canicule : dans les gorges de la Fou, le thermomètre dépasse rarement les 16 degrés.
Et vous en prendrez plein les yeux !
Des milliers et des milliers de siècles ont été nécessaires au tout petit torrent de la Fou pour scier le rocher sur une profondeur de 205 mètres (au lieu dit le roc du Soldat) et sur une longueur de 1739 mètres.
A certain endroits, un minuscule file d’eau ne sépare les parois que de 80 centimètres, conférant ainsi au lieu le titre de « canyon le plus étroit du monde ».
Les Orgues d’Ille sur Têt
« Les orgues » sont d’étranges constructions rocheuses érodées par le temps et en forme de cheminées. Bien avant l’arrivée de l’homme, au cours de l’ère tertiaire, lors du soulèvement des Pyrénées, la vallée de la Têt s’est affaissée et la rivière a charrié des matériaux arrachés à la chaine des Pyrénées. Des strates se sont accumulées et ont créé un large plateau, sculpté ensuite par l’érosion : orages, vents, eaux de ruissellement…, hommes.
Les orgues d’Ille sont aujourd’hui telles des cheminées de fées ! Elles sont éphémères et appelées à disparaître avec le temps, car elles sont le fruit de l’érosion et du passage de l’homme.
La Cascade Baume les Messieurs
La cascade des tufs:
cette cascade a une particularité; elle est pétrifiante: l’eau, en parcourant de longues distances à travers le plateau, se charge de calcaire par dissolution de la roche. Quand elle réapparaît à l’air libre, le calcaire dissous précipite et compose au pied de la cascade une nouvelle roche: le tuf. Algues et mousses aquatiques, en absorbant le gaz carbonique de l’eau favorise le phénomène et se trouvent piégées dans le calcaire (elles se retrouvent enrobées de calcaire et ainsi pétrifiées). Ainsi, la cascade avance au lieu du recul habituel dû à l’action érosive de l’eau. On a une source incrustante, comme le tartre incruste les robinets.
Cascades du Hérisson
Les Cascades du Hérisson, l’Eventail et le Grand Saut :
Elles sont situées vers Doucier, au coeur de la région des lacs. Le Hérisson prend sa source dans le lac de Bonlieu, à 805 m d’altitude, pour rejoindre ensuite le plateau de Doucier, à 520 m. Il subit ce dénivelé de 280 m sur 3,6 Km, formant une multitude de cascades, spectaculaires surtout en période pluvieuse.
L' »Eventail » (nom dû à sa forme) est la plus impressionnante, avec une chute de 65 m, qui forme une pyramide.
Le « Grand Saut » avec une chute de 60 m.
Le « Saut du Moulin » et le « Saut Girard ».
L’accès du site est très facile, et les chemins forestiers bordant la rivière du Hérisson sont très bien aménagés.
Le Saut du Doubs
Classé 1er site naturel de Franche Comté. Depuis Villers-le-Lac, des croisières commentées de 14 km, à bord de bateaux-mouches, vous offrent un spectacle grandiose sur les méandres du Doubs, encaissés dans des gorges sauvages. Une escale au Saut du Doubs permet d’accéder aux deux belvédères qui dominent la chute.
La source du Doubs prend naissance à 937 m d’altitude, dans une caverne située dans le val de Mouthe.
La Source du Lison
Située au fond d’une reculée, à proximité de la taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne, c’est un bel exemple, comme la Loue dont il est affluent, de résurgence typique des zones karstiques.
À proximité immédiate, ensemble de curiosités comme le Creux-Billard (cirque profond de plus de 50 mètres) et le pont du Diable.
Calanche de Piana
Situées en Corse du sud, entre les villages de Piana et de Porto, les splendides roches déchiquetées aux couleurs phénoménales se dressent fièrement au dessus d’une mer aux reflets magiques.
Avec plaisir, le randonneur découvre alors des formes spéciales que les anciens ont appelées “la tortue”, “le coeur des amoureux”, “la vierge et l’enfant”, “Poincaré”, “le dromadaire”…
Là plus qu’ailleurs, on retrouve la particularité qui rend “l’île de beauté” si magique à savoir des montagnes se jetant directement dans la mer.
Et que dire de la luminosité exceptionnelle au coucher du soleil !
Cap Fréhel
le CAP FREHEL constitue le plus vaste ensemble (près de 400 hectares) de landes littorales des côtes françaises. Du haut des falaises escarpées, lorsque le vent se lève, le spectacle est grandiose. Qu’on l’atteigne par la route côtière, ou par la route intérieure (Bourg de FREHEL – PLEVENON), après avoir traversé la lande, le CAP FREHEL, c’est en effet le choc, l’émotion forte, un sentiment confus de notre insignifiance devant un spectacle tout à la fois grandiose et tragique où l’eau, le roc, le vent se livrent un combat sans merci.
L’oeuvre n’en finit pas de se dérouler ; visiteurs, nous passons, inquiets de ces assauts inlassables et violents de la mer et du vent dont se jouent, en un ballet incessant, cormorans huppés, mouettes tridactyles, goélands argentés, pétrels, fous de bassan, huitriers-pies, pingouins torda et guillemots de Troïl.
La Pointe du Raz
Située à la proue de la Bretagne en pays capiste, la Pointe du Raz est un des sites les plus saisissants de la côte atlantique. Ici, les millénaires ont façonné une nature chargée de rêves et d’imaginaire. Mais l’empreinte laissée par des millions de visiteurs avait fini par l’altérer.
Pour rendre toute sa beauté à ce site, un vaste programme de réhabilitation a été entrepris avec pour objectifs la disparition des constructions indésirables et le retour de la végétation traditionnelle des falaises. Pour assurer aux visiteurs un accueil de qualité, un nouvel ensemble, qui s’intègre parfaitement au site, a été implanté à la porte de la Pointe du Raz.
Classés « Grand site national » par l’Etat en 1989, La Pointe du Raz, la Pointe du Van et la Baie des Trépassés font l’objet d’un ambitieux programme de réhabilitation.
Les Rochers de Ploumanac’h
Sculptés par la mer et le temps, posés dans un équilibre parfois plus qu’improbable, empreints de mystère et exacerbant l’imagination, les rochers renvoient à la puissance des éléments naturels. Que la luminosité rose d’un crépuscule s’en mêle et vous serez au coeur d’une sculpture grandiose ! Le granit qui compose ces blocs est une roche vieille de plus de 300 millions d’années composée de mica, de quartz et de feldspath. Au fil du temps, soumis aux incessantes agressions de l’eau et du gel, les blocs se sont érodés, formant ces amoncellements spectaculaires que l’on peut contempler sur le site.
La Roche de Solutré
La roche de Solutré est pour des raisons géologiques , préhistoriques et historiques , le point d’orgue de toute visite du mâconnais .Une ascencion pédestre à partir du parking situé au sud de la roche , permet au promeneur d’accéder au sommet, aprés une visite au musée départemental de la préhistoire.
IL y a 18000 ans des chasseurs qui savaient réaliser de longues pointes larges et fines de silex , s’embusquaient près d’un passage d’animaux , abrités sous des roches. Contrairement à la légende ils ne précipitaient pas leurs proies depuis les 100m du haut de la roche.
Les Roches Tuilière et de Sanadoire
Dans le cirque profond et boisé du Chausse jaillissent deux grands monolithes, les roches Tuilière et Sanadoire.
La roche Tuilière, sur laquelle apparaissent des colonnes prismatiques de trachyte disposées en gerbes, représente la cheminée d’un volcan ruiné. La roche Sanadoire est un reste de cône. Elles sont séparées par une vaste vallée glaciaire où affleure le granite. Les deux Roches montrent sur leurs flancs de magnifiques orgues de phonolites produites par le refroidissement des intrusions.
Canyons d’holzarté et d’Olhadubi
Ce sont au sud de Larrau, les gorges d’Holcarté et les gorges d’Olhadubi. Rare sont ceux qui se risquent à le parcourir, ce canyon étant tellement étroit, inhospitalier et profond. Depuis la passerelle d’Holçarté, pont suspendu d’un bord de la falaise à l’autre, on peut avoir une vue impressionnante sur les gorges. Au sud de Sainte Engrâce, d’autres gorges, les gorges d’Ehujarre et de Kakouetta. Les premières sont parcourues sur toute la longueur par un sentier de randonnée sans difficulté majeure. Les secondes, plus spectaculaires sont par contre profondes et extrêmement étroites. En 1992, une crue détruisit les passerelles longeant les paroies, rendant très dangereux sinon impossible l’accès à la magnifique cascade qui en fermait l’extrémité. Depuis, les gorges ont fait l’objet d’aménagement attrayant mais aussi strict et conforme aux normes de sécurité. Chaque promeneur peut découvrir ainsi, en toute sécurité, ce site de plus de 80 millions d’années. La profondeur varie sur 2 kilomètres entre 30 et 350 mètres, et quelques mètres seulement séparent par endroit les deux versants comme le « Grand Etroit » qui amène à la cascade « Benta ».
En amont, s’ouvre la grotte du Lac, ornée de stalactites et stalagmites géantes. Elle marque la fin d’une randonnée exceptionnelle.
La Corniche Basque
La Corniche Basque, est un site naturel unique.
Elle est longue de 6 km sur sa partie appartenant à Urrugne. De ses hautes falaises de flysch vous pourrez vous promener sur son sentier du littoral, à la découverte de ses précieux atouts tels qu’un blockhaus, vestige du mur de l’Atlantique ; des Viviers basques, crique sauvage ou de la fameuse vague Belharra, unique vague géante d’Europe que seuls les professionnels sont capables de surfer.
Le Domaine d’Abbadia
Le domaine d’Abbadia constitue un promontoire dégageant de superbes points de vues sur l’océan mais aussi sur l’arrière pays. A la rencontre entre l’Océan et les Pyrénées, le site se caractérise par d’abruptes falaises, des criques et deux célèbres rochers « les Jumeaux » témoins du recul de la côte.
De vastes prairies, la lande atlantique, des bosquets sculptés par les vents offrent l’image d’un espace de nature contrastant avec les villes d’Hendaye, Irun et Fontarabie que l’on aperçoit à proximité.
Gouffre de Proumeyssac
Déjà célèbre au XVIIIe siècle pour ses terrifiantes légendes, le Gouffre de Proumeyssac ne fut exploré qu’en 1907.
Baptisé « Cathédrale de cristal », Proumeyssac est aujourd’hui la plus grande cavité aménagée du Périgord.
Par un tunnel, on accède facilement à cette immense voûte souterraine aux parois ornées d’une multitude de cristallisations d’une densité exceptionnelles.
Des jeux de lumière, soutenus par un accompagnement musical complètent l’originalité de ce site. La visite de 45 mn, commentée par des guides expérimentés, laisse un souvenir impérissable.
Château de Saumur
Demeure des Ducs d’Anjou au XIVème siècle puis résidence des gouverneurs de la ville, prison, dépôt d’armes et de munitions, le Château de Saumur est acheté par la ville en 1906 pour abriter le musée municipal. En raison de travaux de restauration l’intérieur du monument n’est pas visible actuellement, toutefois une sélection d’œuvres est présentée dans l’abbatiale du château.
Le site est ouvert à la visite du 1er avril au 30 septembre, du mardi au dimanche, de 10h à 13h et de 14h à 17h30 .
Le tarif de 2€ (gratuit pour les enfants de moins de 11 ans) comprend : l’exposition dans l’abbatiale, le panorama et en juillet et août uniquement, la visite guidée des extérieurs du monument.
Château de Brissac
Plus haut que tous les châteaux royaux, Brissac, avec sept étages et 204 pièces, mérite son surnom de géant du Val de Loire. Acquis en 1502, par René de Cossé, premier seigneur de Brissac, il est aujourd’hui la résidence du 13ème duc de Brissac. Tandis que le parc offre de magnifiques points de vue à l’ombre d’arbres centenaires, la visite révèle un éblouissant décor. Ici rivalisent de beauté, plafonds dorés à la feuille, mobilier précieux, et surtout un ravissant théâtre Belle Epoque, dédié à l’opéra.
Château de La Rochefoucauld
Demeure historique des La Rochefoucauld toujours présents depuis mille ans. Par la qualité, la diversité et l’élégance de son architecture, le château de La Rochefoucauld mérite d’être considéré comme l’un des plus remarquables de France.
Château de Valençay
Construit en 1540 par Jacques d’Estampes, le château de Valençay est acheté par Talleyrand en 1803, alors ministre des Relations extérieures. Son architecture rappelle celle des châteaux Renaissance du Val de Loire.
L’aile ouest est ajoutée au XVIIe siècle et remaniée au XVIIIe siècle.
Château d’Amboise
Le Chateau d’Amboise se dresse au dessus de la Loire. L’un des monuments les plus visités de France au meme titre que les chateaux de Chambord, Blois, Chenonceau et Azay le Rideau. Il conserve des constructions médiévales, pour autant l’essentiel des batiments subsistants datent de la Renaissance, y compris la Chapelle Saint Hubert. Il a été négligé pendant plusieurs siècles avant de revivre grace au tourisme.
Château de Chenonceau
Au coeur de la vallée de la Loire, Chenonceau s’impose comme le château privé le plus visité au monde. Le château actuel a été construit de 1513 a 1521 par Thomas Bohier, receveur des Finances sous Charles VIII, Louis XII et François Ier.
Château d’Ussé
Le château d’Ussé surplombe l’Indre. Il est construit à mi-coteau, sur le flanc sud de la vallée. Il est situé à la lisière de la forêt de Chinon. Le château d’Ussé qui fut tout d’abord élevé au XVème siècle sur une motte féodale du XIIème siècle se transforma peu à peu en résidence d’agrément.
Château de Villandry
Villandry, achevé vers 1536, est le dernier des grands Châteaux de la Loire qui furent bâtis à l’époque de la Renaissance dans le Val de Loire.Villandry est construit par un ministre des finances de François 1er, Jean le Breton. Pour le compte de la couronne, il surveille et dirige pendant de longues années la construction de Chambord.
Château de Chambord
Chambord, qui mesure 156 m sur 117 m et compte 440 pièces, est le plus vaste des châteaux de la Loire. Il a été construit à l’initiative du roi de France Francois I qui a suivi de près la réalisation des travaux.
Chambord est le modèle de l’architecture française du début de la Renaissance. Son plan en carré reprend celui des châteaux médiévaux, mais surtout, il intègre l’influence et le style de l’architecture de la Renaissance italienne.
Château de Vaux-le-Vicomte
Ce château, l’un des plus beaux d’Ile de France, a été construit entre 1656 à 1661 par Louis Le Vau pour Nicolas Fouquet, alors surintendant des finances de Mazarin. Les jardins ont été dessinés par le jeune Le Nôtre.
Inauguré en grande pompe en présence du jeune Louis XIV, son faste suscita la jalousie du roi et concourut sans doute à la disgrâce de son propriétaire, à son emprisonnement à vie et à la confiscation de ses biens.
Certains considèrent qu’il inspira la conception de Versailles, en réponse à sa magnificence.
Château de Saint-Germain-en-Laye
De la résidence des Rois de France au Musée d’Archéologie Nationale. En 1124, Louis VI le Gros fait ériger, à proximité du monastère du XIème siècle qui marque l’acte de naissance de la ville, un château fort destiné à protéger Paris à l’Ouest. Saint-Louis l’agrandit en 1238 et fait ajouter une chapelle en partie visible aujourd’hui, servant de modèle à la Sainte-Chapelle de Paris. Charles V le restaure en 1368, y adjoignant un donjon de 38 mètres. C’est François 1er qui, influencé par l’art italien, fait ériger en 1539 le « Château Vieux » que l’on voit aujourd’hui sur les soubassements de l’ancien. L’idée était d’en faire une demeure royale plus confortable. Philibert Delorme réalise pour Henri II les plans du « Château Neuf », véritable maison de plaisance où l’on vient chasser à la fin du XVIème siècle. Si elle demeure une résidence royale sous Henri IV et Louis XIII, c’est Louis XIV qui lui redonne ses lettres de noblesse avec les jardins de Le Nôtre, les aménagements de Mansart et les nombreux bals et concerts qui y seront donnés jusqu’en 1682, date à laquelle Louis XIV quitte le château définitivement pour s’installer à Versailles. Louis XVI l’offrira à son frère, futur Charles X avant que Napoléon III ne le restaure de 1862 à 1867, date à laquelle est inauguré le Musée des Antiquités Nationales. Ce musée retrace aujourd’hui « la vie des hommes et leurs inventions des origines à l’époque mérovingienne ». Évolution des techniques, expression artistique et pensée religieuse y sont évoquées à travers 29000 objets exposés.
Seaquarium – Musée de la mer
Aquarium géant et pôle mammifères marins
Poissons méditerranéens et tropicaux, tunnel et passerelle à requins, bassin géant phoques et otaries, nombreux espaces intéractifs, Parcours enfants, Musée de la mer.
Ouverture du REQUINARIUM
Un monde entièrement dédié au plus redoutable des prédateurs
1000m² supplémentaires
4 nouveaux bassins dont un de 800 000 litres d’eau
Ouvert tous les jours, toute l’année (sauf le 25 décembre)
Aquarium de la Rochelle
Au centre de la ville, face au Vieux Port, découvrez l’un des plus grands aquariums privés européens. Durant 2 heures, visitez le cœur des océans, partez à la rencontre de plus de 12 000 animaux marins, et laissez-vous surprendre par la biodiversité de l’Atlantique, de la Méditerranée, et des Tropiques. Dans 3 millions de litres d’eau de mer, des fragiles méduses, … aux fascinants requins, un voyage unique pour Rêver et Comprendre la Mer.
Les plus de la visite : l’audio-guide (adultes, enfants) et ses anecdotes ; ainsi la vie sous-marine n’a plus de secret ! Et pour les enfants dans l’exposition, un parcours à leur hauteur… pour apprendre comme les grands.
À chaque visite des nouveautés, et différentes expositions gratuites dans le hall.
La boutique, « Mémoires d’Océans », propose une sélection originale de souvenirs.
Au second étage accessible indépendamment de la visite, le restaurant le « Café de l’Aquarium » offre dans une ambiance tropicale, une carte de saison avec produits bio.
Disneyland-Paris
Entrez dans le monde magique de Disney Land Resort Paris avec ses parcs à thèmes, ses hôtels, son golf et Disney Village.
Océanopolis
« Océanopolis Brest »: le parc de découverte des océans. Tout pour vivre une journée inoubliable ! Pavillons polaire, tropical et tempéré et biodiversité, « Océanopolis Brest », c’est 4 univers à explorer, plus de 10 000 animaux, près de 4 millions de litres d’aquariums d’eau de mer, des films spectaculaires, des animations passionnantes comme le nourrissage des phoques et des manchots…
Cité de Carcassonne
Ville médiévale fortifiée, histoire de la croisade contre les albigeois, la Cité de Carcassonne encore habitée se situe sur la rive droite de l’Aude.
Elle compte 52 tours et deux enceintes concentriques qui totalisent 3 km de remparts. Accessible de jour comme de nuit, par la Porte Narbonnaise et la Porte d’Aude, une grande partie de la Cité médiévale se visite librement.
l’Aquarium du Grand Lyon
Venez vivre un véritable tour du monde des eaux douces et marines. Plongez dans les rivières européennes et laissez vous aller jusqu’aux mers tropicales, en passant par les Océans Pacifique, Atlantique et les grands lacs africains.
Ouvrez les yeux, les oreilles et les mains pour découvrir les poissons les plus classiques, insolites,colorés, effrayants de notre planète.
Vivez les émotions de plongées merveilleuses avec l’épave des requins : un bac géant de 500 000 litres d’eau, visible sur 2 étages et peuplés de requins, raies, mérous sur 2 500m2 d’espace de visite, 4 salles d’exposition et 39 aquariums.
Grand Aquarium de Saint-Malo
Le grand aquarium de Saint-Malo offre non seulement un véritable tour du monde des océans du globe et de leurs espèces, mais il permet également de mettre le nez dans un roman de Jules Vernes.
A bord du Nautibus, un véritable sous-marin pouvant contenir cinq passagers, vous pourrez en effet plonger au fond des bassins et bénéficier de points de vue exceptionnels.
Autre attraction majeure : le bassin des requins, une grande salle circulaire qui vous permettra d’observer ses géants des mers à 360 degrés. Grâce au bassin tactile vous pourrez dépasser le stade de l’observation et entrer en contact direct avec les animaux. Dans cet espace de 120m² vous caresserez les raies, grondins, lieus et autres poissons de l’Atlantique nord.
Le Pal
Sur 23 hectares ombragés, ce parc présente à la fois 25 attractions sensationnelles (du Grand-Huit à la Rivière Canadienne en passant par le train de la mine Azteka), un parc de 500 animaux du monde entier en semi-liberté et 3 spectacles animaliers (perroquets, otaries, rapaces). Les espèces les plus insolites ou spectaculaires du parc sont également à découvrir à l’occasion des « goûters des animaux » présentés par leur soigneur. Nouveautés 2007 : – le « Disque du Soleil » une attraction aussi originale que spectaculaire, – « la Vallée des Loups », une nouvelle vision et un nouveau regard sur ces animaux fascinants et bien d’autres surprises encore ! Et pour les plus curieux, les visites des coulisses du zoo en juillet et août.
Aquarium Marin de Trégastel
L’Aquarium Marin de Trégastel est situé à 100 mètres de la plage, et
creusé dans du « Père Eternel ».
Sous des milliers de tonnes de Granit Rose, vous découvrirez la faune du littoral breton: homards, langoustes, bars et autres congres.
L’Aquarium est un lieu de découverte ludique et didactique de la faune depuis l’estran jusqu’aux abysses.
La visite est organisée en trois zones thématiques : la Zone des Embruns, la Zone des Marées et la Zone des Profondeurs.
Nausicaa Cap au Sud
Nausicaá, situé à Boulogne sur Mer, le long de la plage, est bien plus
qu’un simple aquarium : c’est le plus grand site européen dédié à la
découverte et à la sensibilisation pour la protection de l’univers marin.
Avec plus de 58 000 animaux, Nausicaá vous propose de partir pour 4h30 de
visite à la rencontre de dizaines d’espèces différentes de requin, de
vous émerveiller devant les majestueuses raies ou les beautés du lagon
tropical, d’assister au training médical des lions de mer et bien plus
d’expériences encore ! Nausicaá vous promet un voyage inoubliable au
cœur de l’Océan !
Marineland
Les orques, dauphins et otaries invitent chaque jour les spectateurs à découvrir leurs talents dans des spectacles uniques, riches en émerveillement et en surprises!
Les requins vous accueillent avec le mystère qui les honore.
Les poissons tropicaux paradent de leurs multiples couleurs.
Tout pour vivre une aventure unique au coeur du monde marin!
Le Mont Saint Michel
L’architecture prodigieuse du mont Saint-Michel et sa baie en font le site touristique le plus fréquenté de Normandie et le troisième de France (après la tour Eiffel et le château de Versailles) avec quelque 3 200 000 visiteurs chaque année. Classé monument historique en 1874, le site figure depuis 1979 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Le musée du Louvre
Le musée du Louvre est le plus grand musée parisien par sa surface. Situé au cœur de la ville de Paris, entre la rive droite de la Seine et la rue de Rivoli, dans le Ier arrondissement, le bâtiment est un ancien palais royal. La statue équestre de Louis XIV constitue le point de départ de l’axe historique, mais le palais n’est pas aligné sur cet axe. C’est l’un des plus anciens musées et le troisième plus grand au monde en terme de superficie. Le Louvre possède une longue histoire de conservation artistique et historique de la France, depuis les rois capétiens jusqu’à nos jours.
Le musée d’Orsay
Le musée d’Orsay est un musée national situé à Paris, sur la rive gauche de la Seine, dans le VIIe arrondissement. Les collections du Musée d’Orsay présentent principalement la peinture (et sculpture) occidentale de 1848 à 1914.On peut y voir des tableaux majeurs de Van Gogh, Monet, Degas, Maurice Denis, Odilon Redon etc.Le Musée présente également des expositions temporaires.
Chamonix Mont-Blanc
Le domaine skiable de la vallée de Chamonix est divisé en 4 domaines : Les Grands Montets, Brévent/Flégère, Domaine de Balme et Les Houches.
Il propose une multitude de pistes pour tous niveaux dans des sites très variés. Grandes pentes, ski dans les arbres, ski sauvage, pistes pour débutant, le site offre des possibilités infinies pour tous les amateurs de glisse.
Comments
Bonjour,
Il me semble que la dune du Pilat peut rentrer dans cette liste avec honneur. Vive Arcachon !!!