Châteaux et Monuments de Charente-Maritime
Château de Meux
Reconstruit à la fin de la guerre de Cent Ans sur les ruines d’une forteresse, ce manoir, berceau de Judith, épouse de Pierre Dugua, offre une belle architecture Renaissance : tour d’escalier ornée de la « cagouille » saintongeaise, grandes cheminées en pierres sculptées, fenêtres à meneaux sobrement ornées…
Les roses sont partout sur les communs entourant la cour du château, dans les parterres de jardins à la française, dans le parc mêlées à d’autres fleurs, aux arbres…
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17500 Meux | 45.444172 -0.348330
Château d’Authon
Propriété de la famille d’Authon, une des plus anciennes familles de Saintonge, dont l’origine remonte au XIe siècle avec Roland d’Authon, compagnon de Saint-Louis, le château d’Authon est un château français situé à Authon-Ebeon en Charente-Maritime, qui a connu, tout au long des siècles une histoire mouvementée, témoin des grands bouleversements qu’a connu la France. Mise à part une histoire des plus riches, le château est un bel exemple de jardin à l’anglaise. En effet, autrefois dotée d’un jardin à la française datant du XVIIe au XVIIIe siècle, maintenant disparu, l’esplanade du château est entourée de douves et d’un parc à l’anglaise, datant de la fin du XIXe siècle, aux allées sinueuses, où le visiteur pourra observer entre autres, des cèdres et des magnolias, ainsi que des pommiers, poiriers, cerises et cognassiers. Réparti en trois carrées de potager à fleurs, où on voit se mêler fleurs et légumes, le parc recèle également une curiosité des plus « cristallines ». Site classé mais non protégé, le château d’Authon s’élève majestueusement au milieu des arbres, comme un défi lancé au temps et à l’éternité.
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17770 Authon Ébéon | 45.835278 -0.403889
Château de Beaufief
Folie du XVIIIe siècle, le château de Beaufief fut construit par Auguste Perraudeau de Beaufief, ancien maire
de Saint Jean d’Angély et juriste éminent. Tout le charme de cette demeure réside dans l’harmonie des bâtiments,
de type Louis XV.
A l’intérieur, vous découvrirez un très bel escalier Louis XV classé en fer forgé, ainsi que les lambris et le trumeau
du salon. A voir également sa très belle chapelle avec gypseries et son balcon classés Monuments Historiques, sa
cour d’honneur à la française. Un parc à l’anglaise a été créé qui entoure le château de Beaufief. Il est limité par
des érables de Montpellier et des taillis de charmes. Le potager traditionnel est enclos de murs
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17400 Mazeray | 45.926666 -0.550278
Château de Beaulon
Le château est érigé par la famille de Vinsons vers 1480, sous le règne finissant du roi Louis XI.
Á l’aube de la Renaissance, l’architecture du château est encore fortement influencée par le gothique flamboyant.
C’est la façade nord, qui révèle le style initial de la construction, à l’exception des bâtiments flanqués de part et d’autre.
La lucarne de gauche, élément majeur de la composition, est un somptueux témoin d’une architecture médiévale à son apogée. Placée dans l’aplomb d’une travée de fenêtres, elle se découpe sur le fond sombre des ardoises du toit. Les ornementations sculptées d’inspiration florale, chou frisé et crochets des petits pinacles, accrochent l’azur du ciel.
La seconde lucarne, de style renaissance, contraste par sa rigueur classique et souligne, sans porter atteinte à l’harmonie de l’édifice, la dissymétrie architecturale d’une construction qui a traversé cinq siècles d’histoire.
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17240 Saint-Dizant-du-Gua | 45.434166 -0.704722
Fort Boyard
Situé à mi-chemin entre les îles d’Aix et d’Oléron,
Fort-Boyard a été conçu avant tout pour protéger la rade
de l’île d’Aix et l’arsenal royal de Rochefort.
La portée des canons de l’époque ne permettait pas
de croiser le tir entre le fort de la rade sur Aix
et la batterie des Saumonards sur Oléron.
Entre les deux îles se trouve la longe de Boyard.
Les hollandais avaient cartographié l’endroit « Banjaert »,
banc de sable en néerlandais, qui donnera Boyard plus tard.
Le projet de construction du Fort Boyard
remonte au XVIIème siècle.
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17123 Île-d’Aix | 45.999660 -1.213920
Tour de Broue
Bâtie sur un éperon rocheux dominant le Golfe de Saintonge et le marais de Brouage, La Tour de Broue est le dernier vestige d’un ensemble fortifié du XIème siècle.
Ce donjon est fondé sur un monticule factice qui s’élève d’environ 80 pieds au-dessus de la mer et du marais dont il est entouré. Il ne reste plus aujourd’hui qu’une moitié de la tour, celle qui faisait face à la côte ; mais il est facile de reconnaître qu’elle était carrée bâtie en moëllon, avec quelques rangs de pierres de taille de distance en distance. Cinq contreforts fortifiaient chacune de ces faces. Le mortier employé est rougeâtre et renferme des morceaux de charbon.
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17600 Saint-Sornin | 45.787399 -0.975900
Château de Buzay
Le Château de Buzay est un bâtiment classé monument historique depuis 1950 : c’est aux environs de 1770 qu’est érigée cette grande propriété d’une famille d’armateurs rochelais, friands de demeures de campagnes de prestige pour imposer leur fortune issue du tristement célèbre commerce triangulaire. Le château respecte les lignes néo-classiques de style Louis XVI, en parfait état de conservation, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur, dont l’aménagement, le mobilier et sa disposition ainsi que le décor des différentes pièces, comme les boiseries ou les portraits de famille, ont été conservé dans leur état d’origine. Au cour de la visite de Buzay, on ne manquera pas de parcourir son jardin à la française et son parc, tous deux classés, parfaits témoins de l’organisation des tracés de la fin du XVIIIe siècle, pour une balade au fil des multiples allées traversant des coins de verdures plus ou moins ordonnés.
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17220 La Jarne | 46.126667 -1.081944
Château de Crazannes
Magnifique château classé monument historique, bâti à la fin du XIVe s. à l’emplacement d’une forteresse du XIe s. dont il subsiste une chapelle, un donjon et les douves, ce château, étape vers Saint-Jacques-de-Compostelle, est remanié aux XVIe-XVIIIe. Le Prince Noir y séjourne en 1362 et François Ier en 1519. C’est en référence à l’un de ses propriétaires, le marquis de Carabas, qu’il est surnommé le château du Chat botté. La façade Nord d’époque gothique flamboyant présente un prodigieux décor fantasmagorique. Une multitude de personnages, gracieux ou grotesques, d’animaux et de symboles en animent le décor. Ils illustrent différentes coutumes et légendes médiévales. Le « Château du Chat Botté », superbement restauré, présente un remarquable ensemble de cheminées et un riche plafond sculpté.
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17350 Crazannes | 45.845001 -0.693889
Château de Dampierre-sur-Boutonne
Château Renaissance qui connu une histoire mouvementée mais fut également associé aux mouvements de l’art et de la science. Célèbre double galerie du XVIe siècle aux 93 caissons de pierre sculptés d’emblèmes mythologiques. Expositions : «Art et Alchimie», «Les chevaux de Dali» ; jardin de Diktynna avec labyrinthe, gloriette, sculptures. Bien qu’ endommagé par un incendie en 2002, le château reste partiellement accessible : galerie – animations.
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17470 Dampierre-sur-Boutonne | 46.067711 -0.415749
Château du Douhet
Construit vers 1680 pour Renaud de Pons, le château comporte un corps central et deux pavillons à haute
toiture quadrangulaire. Côté cour, de vastes communs voisinent avec un magnifique colombier renaissance. Côté
parc, un double escalier à balustres descend vers les pièces d’eau alimentées par un aqueduc gallo-romain.
L’entrée se fait par un porche dans le mur et donne sur une avant cour bordée des deux cotés de dépendances à
un étage couvertes de longs toits de tuiles, l’allée centrale passe une balustrade pour arriver au logis en U autour
de la cour. Le pavillon central, couvert d’ardoise, est prolongé par 2 ailes à toiture basse limitées è leur extrémité
par deux pavillons à haute toiture d’ardoise. L’autre façade, coté jardin est marquée en son centre par un escalier
à double révolution. Sous la cour des caves voutées viennent d’un château antérieur.
Le pigeonnier, une fuie cylindrique du XVIe siècle, comporte 1800 boulins, mais il a perdu son toit.
A l’intérieur, curieux salon dit « de la Lanterne » dans les dépendances, un musée saintongeais où meubles, outils,
faïences, bibelots et armes retracent la vie quotidienne en Saintonge aux XVIIIe et XIXe siècle.
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17100 Le Douhet | 45.821388 -0.566667
Donjon de Fouras
C’est dans la petite ville de Fouras, tout près de Rochefort-sur-Mer et de la Rochelle, que le Fort Vauban, se dresse et veille sur la ville telle une vigie. Le château de Fouras fut fortifié en 1672 par Vauban, il ne reste aujourd’hui que le donjon, qui abrite le Musée régional de la ville, et l’enceinte. Ancienne place forte, comprise dans le système militaire de Vauban, qui assurait la protection du port et de l’arsenal de Rochefort.
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17450 Fouras | 45.985832 -1.097500
Château de La Gataudière
Vous y découvrirez le Général en chef du génie de la Grande Armée, le Ministre de la marine et des colonies de Napoléon III et leurs ascendances avec la famille impériale de Bonaparte et du roi de Naples, son Altesse le Prince Murat de Chasseloup Laubat.
Ne manquez pas le magnifique salon d’honneur sculpté et sa très belle salle à manger en boiserie.
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17320 Marennes | 45.834721 -1.114167
Tour de l’Isleau
La construction est attribuée à Henri III Plantagenêt, duc d’Aquitaine et comte de Poitou. Le premier seigneur
connu avec certitude apparaît dans un aveu rendu en 1368, il s’agit de Pont de Vivonne, chevalier. Au cours des
XVIIe et XVIIIe siècles, le domaine devint la propriété des barons de la Chaume. Transformé en exploitation
agricole au cours du XIXe siècle. Le donjon, de forme quadrangulaire, mesurait autrefois plus de trente mètres.
Il forme actuellement un ensemble de 17 mètres de haut sur 11 mètres de côté. Sa structure l’apparente aux
constructions anglaises primitives : il est encore possible de distinguer la base des quatre tours d’angle qui se
dressaient autrefois au-dessus de la terrasse, elle-même protégée de créneaux, aujourd’hui disparus.
Conformément à la tradition médiévale, une porte ouvre directement sur le premier étage, afin de renforcer la
protection des occupants, celle ci était uniquement accessible par une échelle. Le donjon était autrefois entouré
d’une enceinte quadrangulaire, flanquée de tours d’angle. Elle était encore présente au début du XIXe siècle.
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17250 Saint-Sulpice-d’Arnoult | 45.785736 -0.835736
Château de Jonzac
En 1073, le château existe déjà ; le premier seigneur connu est Guillaume de la Rochandry au début du
XIIe siècle. En 1505, Jean de Sainte-Maure, seigneur de Jonzac, fonde le monastère des Carmes sur les vestiges
d’une ancienne chapelle dédiée à Saint Nicolas, le cloître est édifié en 1657. Le jeune Louis XIV, la Reine mère et
Mazarin séjournent au château en 1659. Le château reste aux des Sainte Maure jusqu’à la fin du XVIIe siècle, et
passe par mariage aux Espardes de Lussan qui le gardent jusqu’à la révolution.
Actuellement l’aile nord du château abrite les bâtiments de l’Hôtel de ville (restauré au XIXe siècle), et l’aile sud,
ceux de la sous-préfecture. Le cloître a été restauré entre 1976 et 1978, et abrite aujourd’hui un centre culturel,
avec salles d’exposition et musée archéologique.
L’imposant châtelet d’entrée est marqué 1549 et date donc du XVIe siècle, époque de travaux dont fait partie la
tour nord-ouest alors que la tour sud-ouest, d’un plus petit diamètre, est du XVIIe siècle. La cour d’honneur est
entourée de bâtiments très remaniés, elle a été recreusée pour transformer le demi-étage en rez-de-chaussée,
avec destruction des escaliers extérieurs qui menaient à l’étage noble.
Les toitures d’ardoise sont de hautes poivrières sur les tours, et un curieux ensemble à deux pans reliant deux
poivrières pour le châtelet d’entrée. La façade a gardé son crénelage, ses tourelles en encorbellement et ses
balcons à balustres…
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17500 Jonzac | 45.445557 -0.431111
Château de Matha
Ce qu’on voit aujourd’hui du château de Matha est un élégant pavillon Renaissance. Mais ce lieu est chargé d’histoire et a subi bien des transformations.
Wulgrin, comte d’Angoulême, construit au IXe siècle un premier château pour contenir les invasions normandes et protéger Angoulême. Quelques siècles et sièges plus tard, Louis IX, le roi de France, le rase en 1242, avant la bataille de Taillebourg. Matha est alors un fief qui relève du roi d’Angleterre.
Matha passe de main en main, tantôt français, tantôt anglais. Au XVIe siècle, les protestants le mettent à sac. Du château féodal, il ne reste rien. Au début du XVIIe siècle, on édifie un nouveau château. La famille des comtes de Matha, Bourdeilles, le conservera jusqu’à la Révolution.
A la fin du XVIIIe siècle, le château comprenait un pavillon d’entrée – celui qu’on voit aujourd’hui, une chapelle, un grand corps de logis avec des dépendances. Le pavillon, à trois niveaux, dont le chemin de ronde a été ajouté au XIXe siècle, donne une idée de ce que pouvait être l’ensemble.
Mais la vaste esplanade d’herbe permet des animations d’été dans ce lieu, comme le marché fermier, et la découverte du pavillon permet des comparaisons avec le château voisin de Neuvicq.
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17160 Matha | 45.865276 -0.322222
Château de Montendre
Construit au IXe siècle sur les ruines d’un oppidum romain, le château de Montendre fut agrandi au XIIe siècle
et remanié au XVe siècle. De cette époque, on peut encore distinguer la Tour Ronde, une partie des enceintes et
l’imposante Tour Carrée qui accueille le Musée d’Art et Traditions Populaires de Montendre.
Vous pourrez également y découvrir les ruines du manoir du Marquis de Larochefoucaud, un théâtre de plein air,
lieu de nombreuses manifestations estivales ainsi qu’un superbe panorama sur la ville et l’estuaire de la Gironde.
Avant le château de pierre existait une construction en bois où Charlemagne serait venu poursuivre le duc Hunald
Le château eut plusieurs propriétaires dont la famille de la Rochefoucauld. Au début du XIXe siècle, il était habité
par le marquis de Brosse. » Chaque dimanche, en culottes courtes, guêtré de droguets et en sabots, il se rendait
à la messe où il accompagnait les chants au violon » dit-on.
Dans le parc du château, on remarque les vestiges d’une fenêtre sauvée d’une démolition en centre ville. Elle est
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17130 Montendre | 45.284443 -0.412222
Château de Montguyon
Place-forte mentionnée dès le XIe siècle. Le château est pris au cours de la guerre de Cent ans. Il devient
forteresse protestante pendant les guerres de Religion et reçoit plusieurs visites d’Henri de Navarre. L’édifice est
précédé d’une basse-cour et d’un pont-levis. Le corps de logis principal était flanqué d’une tour remontant sans
doute au XIIIe siècle, remaniée fin XVe et début XVIe siècle.Incendiée en 1793, elle s’effondre en partie. Un
petit couloir construit dans la muraille donne accès à une salle aveugle voûtée en coupole.
Les étages avaient des salles carrées qui conservent des cheminées monumentales. Anciennes dépendances en
dehors de l’enceinte.
Vestiges visitables.
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17270 Montguyon | 45.216110 -0.188330
Château de Neuvicq-le-Château
Le château de Neuvicq est un bel exemple d’architecture gothique flamboyant.
D’illustres familles se sont succédées dans ce château parmi elles : les Las Rochandry de Basternay, Montespan et de La Laurencie.
Le château a été construit sur les bases d’un ancien château fort en 1478. Il se compose d’un grand corps de logis à trois étages au dessus d’une vaste cave voûtée servant de cuisine où l’on peut remarquer une cheminée du XV° siècle. Il est flanqué à ses deux angles nord-est et sud-est de deux grosses tours en poivrières avec créneaux et mâchicoulis richement ornés.
Au XVII° siècle un pavillon Renaissance et une tour d’escalier hexagonale ont été rajoutés. Malgré une destruction partielle de la partie la plus ancienne du château en 1850, par des propriétaires peu scrupuleux, le corps de logis du XV° siècle reste intact. A l’intérieur boiseries et cheminées des XV° et XVII° siècles subsistent.
Le Château a été racheté par la commune en 1904 et abrite la mairie. Le château a été classé aux monuments historiques en 1912.
Tous les étés de Juin à septembre le château accueille des expositions culturelles et est ouvert à la visite tous les après midi de 15h à 18h30.
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17490 Neuvicq-le-Château | 45.802502 -0.163889
Château de Nieul-lès-Saintes
Le château se présente comme une enceinte hexagonale irrégulière : courtines de 12 à 14 m de hauteur, percées d’archères, couronnées d’un chemin de ronde, qui ne subsiste que sur la façade et flanquées de tours carrées. Il est cerné de douves sèches dont on peut penser qu’elles pouvaient être alimentées à l’époque par le ruisseau tout proche. Dans la vaste cour intérieure, adossés à la muraille d’enceinte s’organisaient logis et communs. Trois tours d’escaliers conduisaient aux étages, l’une parfaitement conservée, l’autre en partie restaurée, la troisième ne subsistant que dans sa partie souterraine conduisant à de très belles salles voûtées de 8 et 20 m de longueur sur 6,60 m de large.
Le logis, sobrement meublé, tente de recréer une atmosphère médiévale avec ici et là quelques touches « renaissance » : coffre, crédence et chaises à fenestrages gothiques, cathèdres, tableaux du XVIe etc…
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17810 Nieul-lès-Saintes | 45.755833 -0.748889
Château de Panloy
Construit en bord de Charente sous Louis XV, ce château a conservé tout son mobilier d’époque et de nombreux objets témoins du style de vie d’antan. C’est donc une atmosphère très authentique que vous découvrirez en parcourant salon, salle à manger, galeries, chambre, combles. Dans le parc : chapelle, écuries, pigeonnier de 1620, buanderie et bois.
Vous pouvez aussi y organiser tout type d’événement, privés ou professionnels : mariage, réunion, séminaire, repas de famille etc…
La salle qui abritait autrefois les voitures à cheval a été aménagée pour pouvoir organiser votre soirée de réception. Galerie de chasse, salons peuvent être également utilisés. Pour les cocktails le cadre naturel de la vallée de la Charente devant la façade du château vous assure un décor somptueux.
Pension pour chevaux au château avec formule pré/box toute l’année
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3 domaine de Panloy 17350 Port d’Envaux | 45.842499 -0.686667
Château de Plassac
Un premier château fort existait en 1340, date d’un procès pour sa possession entre Guillaume de Flotte
et Pons de Mortane. Confisqué par la couronne elle est donnée à Renaud IV, sire de Pons, et reste dans cette
famille jusqu’à sa vente à Jean-Louis Nogaret de la Valette, duc d’Épernon. Le château aurait été reconstruit
vers 1555.
En 1633, suite à son altercation avec l’archevèque de Bordeaux et son excommunication, Jean-Louis Nogaret
s’exile à Plassac, érigé depuis peu de baronnie en comté. Après 1633, il est agrandi par le duc d’Epernon puis
vendu par son fils, vidé de ses meubles et laissé à l’abandon lors de contestations d’héritage jusqu’en 1755.
Il revient à la marquise de Montazet dont le fils, Charles va entreprendre sa démolition à partir de 1769 pour
ne conserver que les bases et les fossés et construire un château neuf. Le château est vendu le 8 ventose an
V mais la vente est cassée, et le château est racheté par sa femme.
Au milieu du XIXe siècle, la famille de Dampierre fait construire une aile de dépendances parallèle à celle des
écuries, niveler l’esplanade et détruire les restes de l’ancienne basse-cour médiévale.
En 1940, Rommel y installe son état-major Le château du XVIIIe siècle comporte un haut pavillon à combles brisés
encadré de deux ailes terminées chacune par une avancée à fronton triangulaire, les toitures, très hautes, couvertes
d’ardoises sont percées de lucarnes de petites dimensions à fronton arrondi.
Visite des extérieurs.
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17240 Plassac | 45.471111 -0.563889
Donjon de Pons
Élément emblématique de cette petite ville tranquille, le donjon médiéval demeure le témoin d’un passé où Pons possédait une réelle influence sur la région. Un premier donjon fut ainsi rasé dès le XIIe siècle à l’initiative de Richard Cœur de Lion dans le but de réduire les aspirations à l’indépendance des Saintongeais de l’époque. Le seigneur de Pons, Geoffroy III, fait reconstruire dans la foulée un nouveau donjon entre 1180 et 1185 : cette imposante construction, semblable à un imprenable massif de pierre rectangulaire, domine toujours le centre ville du haut de ses 30 mètres. Structure défensive austère, le donjon s’est vu adjoindre début XXe les créneaux et mâchicoulis qui ornent son sommet. L’accès au donjon est libre. A partir du donjon, qui abrite l’office de tourisme, on peut partir à la découverte de la vieille ville en empruntant le chemin des remparts, puis, au fil de ruelles sinueuses on atteint l’église Saint-Vivien et son style saintongeais du XIIe, maintes fois remaniées.
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17800 Pons | 45.578056 -0.547500
Château de la Roche-Courbon
Situé sur les bords d’un cours d’eau, le Bruant, ce site, enchâssé entre deux falaises, fut de tout temps choisi par l’homme.
Sous le château actuel, se trouvent des grottes dont le mobilier préhistorique montre qu’elles étaient habitées à l’époque moustérienne (- 120 000 ans), aurignacienne (- 40 000 ans) et magdalénienne (- 10 000 ans).
En d’autres endroits de la forêt qui entoure cette demeure, subsistent : là, l’enceinte d’un village gallo-romain, ici des tombes mérovingiennes et, bien avant l’actuel logis, des restes de murs du XIème siècle : le lieu porte alors le nom de ROMETTE.
L’exposition retrace, en images, l’histoire des jardins du XVIIIème siècle à nos jours. Situé dans l’ancienne cuisine des gardes, à l’intérieur des caves voûtées du château, cet ensemble de vingt panneaux montre au visiteur l’évolution du site et comment les jardins à la Française ont pu y être imaginés, dessinés puis plantés.
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17250 Saint-Porchaire | 45.836109 -0.781389
Château de Saint-Jean-d’Angle
Au XIe siècle, une première motte féodale avec une tour en bois existait sur le site. Reconstruit mais en pierre,
par Guillaume de Lusignan et Denise d’Angle vers 1180, ce château est un exemple remarquable d’architecture
militaire médiévale. Situé sur la rive est du golfe de Saintonge, il contribuait à la défense des 6000 hectares de
marais salants qui assuraient des revenus considérables. Jusqu’en 1750, il restera dans la famille des Lusignan
puis St Gelais de Lusignan, personnages emblématiques et hauts en couleur, protégés par la fée Mélusine. Puis
il tombera dans l’oubli. En 1994, lorsqu’il est classé monument historique, ce n’est plus qu’une ruine envahie par
le lierre, les arbres et les ronces. Les remparts sont fissurés de toutes parts, le logis n’a ni toit, ni plancher, ni
portes, ni fenêtres. Racheté fin 1994 le château de Saint Jean d’Angle est complètement restauré par son actuel
propriétaire Alain Rousselot, qui à ce titre, sera gratifié en 2002 du grand prix des Vieilles Maisons Françaises et
du prix Europa Nostra remis à Bruxelles au palais d’Egmond. Ces prix récompensent les travaux réalisés ainsi
que la qualité parfaite de la restauration à l’identique.
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17620 Saint-Jean-d’Angle | 45.820557 -0.950833
Château de Taillebourg
Lieu de la bataille de Taillebourg en 1242 (Saint-Louis et Henri III d’Angleterre). Dernier château fort de la
fin du XVe siècle détruit par les guerres de religion et pendant la Fronde (ne subsiste qu’une tour médiévale).
Nouvelle composition d’esprit classique : château avec sa terrasse construit entre 1717 et 1739, communs du
XVIIe siècle, remaniés au XVIIIe siècle.
Domaine vendu et divisé à la Révolution. Le château disparaît dans un incendie en 1822.
Ce château est d’abord une puissante forteresse, puis résidence gothique et enfin le plus important château
de Saintonge au XVIIIe siècle.
Le château avec sa terrasse, construit entre 1717 et 1739 était un grand corps de bâtiment en U flanqué de 2
pavillons couverts de toitures d’ardoise à brisis.
Du XVe siècle il ne reste que la tour médiévale, les terrasses & les caves. Les restes des fortifications classées,
comportent les murs de soutènement les fossés et les ponts. Deux ailes des dépendances du XVIIIe siècle sont
devenues des résidences particulières. En 1714, sur le terrain dégagé par les travaux, le duc de La Tremouille fit
dessiner un jardin à la française, il existait aussi des jardins en contrebas des remparts.
Une allée de tilleuls conduit à la terrasse plantée de buis. Agrippa d’Aubigné rapporte qu’Henri IV considérait ce
belvédère comme la plus belle terrasse de son royaume.
Les bords de la Charente sont plantés de peupliers, saules et aulnes et les prairies conservent la marque de la
chaussée Saint-James qui date de l’époque romaine.
Eléments protégés, façades et toitures des deux bâtiments des communs du XVIIIe siècle, pavillon d’entrée, les
murs de soutènement et fossés avec les ponts vestiges du château. Fortifications en totalité comprenant les sols
des deux esplanades nord & sud et des deux terrasses à l’est pouvant recéler des vestiges de bâtiments avec le
parc, tour médiévale et salles voûtées souterraines. Ouvert à la visite.
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17350 Taillebourg | 45.833889 -0.647500
Château d’Usson
le château d’Usson est original par son histoire et son architecture. Il se trouve aujourd’hui aux Egreteaux mais depuis la fin du XIXème siècle seulement ! En effet, à cette époque, M. Augereau décida de démonter le château situé auparavant à Echebrune, et de le rétablir sept kilomètres plus loin, en procédant à un savant assemblage des pierres.
La famille Rabaine avait édifié cette belle demeure seigneuriale au XVIème siècle, s’inspirant pleinement de la mode de son temps, la Renaissance. Ainsi, au sein de salles disparates du château enrichies au fil des siècles, les œuvres inspirées des plus grands peintres italiens côtoient des objets décoratifs provenant de nobles châteaux de France. Le château d’Usson étonnera chacun par son parc et l’élégance de ses bâtiments.
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17800 Pons | 45.568611 -0.536944
Château de Villeneuve-la-Comtesse
Cette seigneurie fut d’abord celle des Guillaume, comtes du Poitou durant deux siècles, dont la
dernière de la lignée fut Aliénor d’Aquitaine, comtesse du Poitou, ce qui donna le nom de Villeneuve la
Comtesse. Possession de Henri II d’Angleterre, Richard Cœur de Lion, Jean sans Terre, elle passa part
mariage au comte de la Marche et d’Angoulême puis au comte d’Eu et enfin à la couronne quand il est
décapité en 1350. En 1430 il est pris par le connétable d’Albret qui le détruit mais laissant une tour, les
matériaux servent à reconstruire un château dont il ne reste qu’une partie. Vendu à plusieurs reprises,
il finit par être acheté en 1560 à François de Laurency.
Durant les guerres de religion, Henri de Laurency, seigneur de Villeneuve, présenta une solide défense
aux assauts des protestants qui résista bien que sa garnison soit en partie ensevelie sous les ruines.
Le roi félicita les habitants pour leur bravoure.
La famille de Laurency ayant émigré durant la Révolution, le château, très ruiné, fut vendu comme bien
national ; mais racheté pour eux par un prête-nom, ils sont revenus et l’ont conservé jusqu’en 1843…
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17330 Villeneuve-la-Comtesse | 46.089722 -0.502500
Corderie Royale – Centre International de la mer
La Corderie royale – Centre international de la mer est un vaste ensemble muséal situé au cœur de l’arsenal maritime de Rochefort, ville bénéficiant du prestigieux label de « villes et pays d’art et d’histoire », au patrimoine urbain d’une exceptionnelle richesse historique, architecturale et culturelle.
Rochefort, qui est également une station thermale, est une cité touristique riche de près d’une dizaine de musées, située à 30 kilomètres au sud de La Rochelle, ville avec laquelle elle partage de plus en plus ses atouts historiques et culturels.
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Contribution
17300 ROCHEFORT | 45.939034 -0.955833
Tour de la Lanterne dite des 4 Sergents
La tour de la Lanterne (xve siècle) est, avec la tour Saint-Nicolas et la tour de la Chaîne, l’une des trois tours du front de mer de La Rochelle, vestiges des fortifications médiévales qui protégeaient le port. Elle est également connue sous les noms de tour du Garrot, tour des Prêtres et tour des Quatre Sergents. Elle a été classée monument historique le 17 février 1879.
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Contribution
Rue sur les Murs 17000 La Rochelle | 46.155807 -1.157056