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Sites par type

Château d'Aulnois

A l’origine, cette dépendance de l’évêché de Metz était une place forte médiévale. On peut encore admirer, à
l’arrière du château, les tours des XIVe et XVe siècles merveilleusement incorporées dans le château reconstruit
dans le style classique. Chargé de rebâtir ce château au XVIIIe siècle, l’architecte Boffrand, que l’on ne présente
plus (Lunéville, Haroué…), décide d’utiliser avec prestance la terrasse naturelle sur la Seille que constitue le site.

Château de Craincourt

Le bâtiment, de plan rectangulaire, est épaulé par deux pavillons carrées aux extrémités de la façade ouest, et une
tour ronde sur l'angle nord est. Les dépendances transformées au XIXe siècle encadrent la cour fermée au nord par
un mur de cloture flanqué d'un pigeonnier de plan carrée; ce mur est percé d'un portail donnant accès au domaine.
Le portail à porte charretière en anse de panier est encadré de pilastres ioniques supportant un entablement

Château de Hombourg-Budange

Le château de Hombourg est un fabuleux témoin de l'Histoire de France et de l'Europe.
De par sa localisation, aux confins de la Lorraine, à quelques encablures du Luxembourg, il a fait l'objet, au gré des influences prédominantes, des guerres et des héritages, de modifications constantes et de changement de propriétaires qui sont au coeur de la construction de l'Etat français, tel que nous le connaissons aujourd'hui, et plus largement de l'Europe telle que l'on ne peut que souhaiter la consolider.

Château de Pange

Posé aux bords des eaux paisibles de la Nied, ce château sobre et élégant a été construit en 1720 par Jean-Baptiste Thomas, marquis de Pange, sur l’emplacement d’une ancienne forteresse. La famille de Pange habite toujours cette demeure où bustes, tableaux, gravures évoquent son histoire. En 2003 ont été inaugurés les nouveaux jardins conçus par le paysagiste Louis Benech dans le cadre du réseau transfrontalier “Jardin sans limites”.

Château Saint-Sixte

Témoin de l'Histoire du Moyen Age et de la Renaissance, le Château St-Sixte à Freistroff au bord de la Nied, vous propose un voyage entre passé, présent et futur avec de nombreuses animations.
En bordure de la Nied, dans un paysage calme et bucolique, le majestueux château Saint-Sixte mérite une attention toute particulière…

Château d'Epinal

Construit par l’évêque de Metz, Jacques de Lorraine, vers le milieu du XIIIe siècle, succédant alors à une première forteresse de l’an mil qui fut l'une des premières forteresses des Vosges du sud. Agrandi par les ducs de Lorraine au début du XVIe siècle, le château a été détruit par les troupes de Louis XIV en 1670.

Château de Failloux

Erigé en fief, le Château de Failloux bâti au XVIIIe siècle est blotti au coeur des Vosges.
Situé à 5 mn du centre historique d'Epinal, il vous apportera calme et sérénité.
Nous retrouvons d'ailleurs sur sa grille des motifs Louis XV, asymétriques ornés de chutes d'instruments de musique.
Un bassin en grès, surmonté d'un monstre aquatique trône au beau milieu du jardin à la française. Le chant de la source qui alimente ce bassin nous rappelle que nous sommes situés dans une région thermale, Plombieres en est un bel exemple.

Château de Girecourt-sur-Durbion

Château édifié au 16e siècle, vers 1540. Plafond du 16e siècle dans le corps sud. Aménagement du parc et transformation du château dans le premier quart du 19e siècle. Croix du 17e siècle aux abords du château.

Château de Lantilly

Ancien château fortifié du XIIIeme siècle, remanié XVIIeme et XIXeme siècles entouré de douves en eau. Chevauchant les territoires du Morvan et du Nivernais, un lieu authentique, simple et chaleureux vous attend. Inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques, cet édifice vous accueille le temps d'une balade, d'une visite, d'une exposition, d'un concert...

Château de Montcornet

Bâtie au XIIème siècle, la forteresse surplombe la petite vallée de la Sormonne. Après la famille des Montcornet, le domaine passa aux mains des Miles de Noyer à la fin du XIIIème siècle avant de devenir la propriété d’Antoine de Croy en 1446 qui le restaura.

Acquis par Charles de Gonzague en 1613, il fut démantelé par le duc d’Aiguillon en 1760. Tombé en ruine il fut baptisé "colysée féodal" par Michelet.